vendredi 2 février 2007

Flat et Gorge et mains froides

Ce midi, j'essaie d'aller travailler. Je dois me rendre en ville et faire mes petits arrêts hebdomadaires. Je démarre la voiture et elle se mets a shaker, je sens que ca ne tourne pas rond. Je me rend quand même à la station pour gazer. Je me doutais de ma roue avant gauche, en fait c'est ma roue arrière droite qui fait défaut. Un beau flat. Problème, il n'y a aucune pompe à air. Alors je retourne chez moi et essaie de planifier les différents horaires d'autobus. Fait chier royalement tout ca.

Et depuis ce matin, je suis malade, j'ai froid et je grelotte. J'ai la gorge en feu à force de tousser et je sens mes oreilles qui vont me lacher elles aussi. Je savais que ça venait, la voisine de plateau est malade depuis mercredi, c'était donc une question de temps que le virus se glisse sous ma porte comme le font ses toussements et raclements de gorge. Mais je ne peux sortir, donc pas de sirop ou de pastilles. La vie de célibataire et loin de sa famille vient de montrer son principal défaut. Personne pour te chouchouter.

2 commentaires:

Julie a dit...

C'est plate. Comme dit l'expression "when it rains, it pours." C'est non seulement le désavantage d'être loin de sa famille mais aussi de vivre en banlieue...en ville, tu pourrais marcher pour aller te chercher des pastilles et du sirop. Mais ma mère dit que le meilleur remède est le repos. Ça et une bonne dose de rhum.
Console-toi, ça pourrait être pire, tu pourrais être entrain de faire face à des terroristes, en manque de ta dose d'héroïne, avec personne à qui faire confiance...

jp a dit...

Coté positif, j'ai survécu à la nuit. Justement je me suis tapé la ville aujourd'hui et en descendant en bus. Quand il faut que tu partes 3 heures en avance, c'est que tu as pas une vie très très remplie. Mais au moins, j'ai propagé mon virus partout dans le métro et dans les rues ainsi qu'au cinéma. Sweet revenge!