mercredi 28 février 2007

JP à Manhattan

Avertissement : Je ne suis pas très photogénique, veuillez vous abstenir de commentaires sur ce sujet. Le kid kodak en est conscient.

1-2. Voici donc le fils et sa maman dans l'autobus. Ensuite, le bloc dans lequel ma mère demeure. Il n'est pas très haut 5 étages, mais il est situé en plein coeur de Manhattan sur la 51st street donc en plein Midtown. Il y a un petit ascenseur qui peut contenir qu'au maximum 4 personnes. On devient assez claustrophobique à l'intérieur surtout quand il semble être en panne assez souvent.

3-4. J'avais le choix d'aller voir une pièce de théatre ou un musical le samedi. J'ai failli aller voir une reprise de la pièce Talk Radio d'Eric Bogosian. Oliver Stone en avait fait un film à la fin des années 80 ou au début 90 et The Vertical hour, une pièce mettant en vedette Julianne Moore. Après plusieurs hésitations ( moi hésiter, jamais), j'ai proposé à ma mère qu'on se rende à Long Island samedi matin pour aller voir jouer le Canadien contre les Islanders. Nous avons donc du prendre le train de Penn Station pour se rendre à Uniondale. Une heure de train puis un 20 minutes d'autobus pour se rendre à l'aréna. Une petite ride finalement. À la gare, j'ai rencontré un partisan du Canadien qui était en ville par affaire et qui osait pas montré ses couleurs trop rapidement. Ma mère l'a fait montré son chandail sur la photo. À la droite, c'est un partisan français qui se rendait aussi à la partie. Nous avons fait le voyage avec ce petit groupe. Ils n'avaient pas de billets pour le match, nous les avons donc perdus de vue. L'autre photo est une vue de la patinoire. Je voulais placer un mini vidéo mais je suis incapable.

5-6-7-8. JP qui part seul dans le coeur de la pomme. Le dimanche, ma mère avait des commissions à faire de son coté, alors j'ai été me promener dans Times Square. J'ai fait de petits films de moins d'une minute avec la caméra numérique plutôt que de prendre des photos. C'est plate de prendre des photos quand tu es seul. Ca fait un peu trop Kid kodak. Mais je n'ai pu résister quand même. Et comme à mon habitude, j'ai été voir un film. Je me suis payé Factory girl qui traite de l'histoire d'une muse d'Andy Warhol et Bob Dylan. Très New York comme sujet, en plein le type de film qui me fallait pour entrer dans le thème du voyage. La prochaine fois, je veux me promener dans Chelsea et Greenwich Village.

Enfin, lundi, nous sommes allés magasiner un peu et avons diné chez Applebee's sur Broadway avant que ma mère ne doive aller travailler. L'ONU est vraiment flexible et elle débute seulement à 16h, donc a eu le temps de se promener un peu quand même mais il ne faisait pas très beau. En soirée, la fatigue est venue me chercher et puis j'ai préparé mon sac pour mon retour. Je partais très tôt donc je voulais pouvoir seulement prendre une douche et quitter le mardi matin. Juste quelques jours, ca fait toujours du bien.

Retour pénible

De retour de NY depuis mardi soir. Le voyage en train était interminable. Il y a deux choses très frustrantes pour moi. D'abord, que le train s'immobilise plusieurs fois pendant le voyage laisser passer un autre train ou parce que l'on arrive à la frontière et que les douaniers montent et passe un à un chaque passager avec leurs questions. Ils sont même revenus chercher deux hommes pour les interroger plus spécifiquement. Mais le pire pour moi, c'est que le train traverse ma ville. Il passe à travers St-Jean. Je vois donc la bibliothèque, le stade, le Collège militaire ...

Pour l'aller, j'ai du prendre l'autobus local pour me rendre au centre d'achat pour prendre l'autobus qui lui se rend à Montréal. Pour pouvoir prendre le train qui sur son chemin passe exactement sur le même chemin que l'autobus local prenait 3 heures plus tôt. Au retour, le train arrête à Rouses Point (Lacolle) puis repasse dans St-Jean-sur-Richelieu. . Il est 16h45. L'arrivée à Montréal devait être 18h15. Je me dis au moins je vais être en avance. On reste comme ca jusqu'à 18h.Mais, le train s'immobilise encore une fois. Je suis à moins de 15 minutes de chez moi à pieds à ce moment et je pense aller sauter dehors, je me mets à imaginer une alerte pour sortir. J'ai pas eu le guts. Pissou. Nous sommes finalement arrivés à 20h12. L'autobus pour St-Jean était à 20h06. La prochaine était à 21h30 avec arrivée à 22h30. Mais mon ami La Forge avec toute sa générosité a cessé de regarder Virginie et est venu me chercher au terminus Brossard. J'apprécie mon ami. Merci.

Compte rendu du voyage plus tard cet après-midi.

jeudi 22 février 2007

Big pomme here I come

C'est confirmé, je pars pour New York demain. Un voyage non-mérité mais qui fera plaisir à maman. Le kid ne s'est pas rendu à Ny depuis début 2005. Départ du train à la Gare centrale à 9h50 et arrivée à 19h40 à Penn Station. Ca va me laisser amplement le temps de dormir, penser et rédiger, écouter les conversations des autres passagers. Je vais surement encore m'endormir puis me réveiller en sursaut avec le regard des voyageurs autour de moi parce qu'à ce qu'il paraît je ronflerais. Je vais aussi regarnir mon Ipod pour le voyage. Seul bémol, ca aurait été vraiment plaisant de ne pas être seul pour le long trajet. Je vais tenter de prendre quelques photos. De retour la semaine prochaine.

mardi 20 février 2007

Turtles ... je vous aime

J'ai fait mon épicerie cet après-midi. J'ai tenté d'ouvrir mes horizons un peu plus en tentant d'acheter certains produits que je n'achète jamais. Je me retrouve donc avec une poche de gruau, du melon-miel déjà coupés en cubes, 3 pommes vertes et des biscuits suédois ou danois. Le genre de biscuits qu'on retrouve sur une table à buffet chez nos tantes. Je me suis aussi payé des gâteries avec des popsicles aux fruits (j'ai failli acheter des bombes bleu-blanc-rouge) et un vrai pepperoni en saucisson. Et puis, dans le panier liquidation, il y avait une boîte de Turtles en forme de coeur. Je n'ai pu résister. I am a sucker for romantic stuff et comme certains d'entre-vous le savez, j'ai le coeur fragile ces temps-ci.

lundi 19 février 2007

Ma moussin

J'ai eu des nouvelles de Moussin qui est revenue du Panama et qui a du braver la neige et le froid dès son retour. Bon retour à la routine ma belle. Elle m'appelle toujours alors qu'ele se fait à manger. J'ai appris à reconnaître le couteau qui coupe et qui hache et la cuillère qui brasse la sauce ou la soupe. Jusqu'à la vaiselle qui se lave, je sais que la conversation se termine. Elle me pose des questions sur How I met your mother, The Office et Gilmore girls, ce qu'elle a manqué, ce qu'elle a aimé. On échange nos opinions. On se réconforte à l'idée de savoir qu'il y a qq un d'autre qui écoute la même chose et qui rit au même moment ou presque.

dimanche 18 février 2007

Mon amie Léo

J'ai passé un drôle de vendredi si on le compare à ceux que je vis hebdomadairement. D'abord, mon père était en ville. Il est arrivé trop tard jeudi soir pour aller souper pour ma fête donc nous avons convenu de se rappeler vendredi matin vers 7h30. Ainsi, vendredi matin : 7h30, j'appelle Paul et on convient de se rencontrer dans le stationnement du Walmart du boul Taschereau ouest tout près de la 10. Comme ca, il pourra continuer son chemin vers un autre client à Delson ou St-Constant et moi me diriger vers mon r-v en ville.

C'était la journée des rafales de vent. Juste sur le tronçon de la 35, il y a eu 6 sorties de route. Je prenais donc mon temps. J'arrive avec 20 minutes de retard. Mon père est au téléphone dans son camion. Je me tiens debout dans le vent à me les geler pendant qu'il termine. Il me souhaite bonne fête, me tend une liasse de billets verts. On jase rapidement de ses plans de vacances pour le mois de mars et d'une nouvelle recrue qu'il doit former sur le territoire de Québec. Il me donne le reste du liquide lave-glace qu'il a eu le temps d'acheté pendant qu'il m'attendait. Parfait, c'est ce que j'allais faire en le quittant. Je vais donc sauver un p'tit 5 minutes. On se quitte. Direction Montréal.

Je reprends l'autoroute et à ma grande surprise je suis tout juste derrière le même 18 roues que je suivais avant de prendre la sortie. C'était il y a au moins 15 minutes de ça. Wow. Enfin, au menu aujourd'hui, j'avais mes films en soirée. D'habitude je les fais le midi, mais je devais aller prendre soin de la petite fille de mon amie V, alors qu'elle est en convalescence. Elle était supposée dormir toute la journée. Et moi, je devais m'occuper de la petite Léonie, 5 ans, que je n'avais jamais rencontré. J'étais stressé.

La petite fille était un ange. Tellement intelligente. Elle aime la maternelle parce que ca lui permet d'apprendre des choses. Elle m'a nommé tout le monde dans sa classe. Elle m'a expliqué comment elle a couché à l'école pour Noël. Elle m'a recité tout ce qu'elle savait de la Chine. Elle sait compter jusqu'à 100. Je lui ai même fait compter jusqu'à 142 jusqu'à ce qu'elle me dise qu'elle était tannée de compter. Elle m'a répété que je dois placer ma main devant ma bouche quand je baille. On a joué à devine quel forme a cet objet. Les carrés du tapis, le losange sur le mur. L'assiette ronde. Le triangle sur son chandail. etc. Je lui ai préparé une pizza avec des crevettes, des olives noires, du fromage boconchini (à part mozzarella moi!) du pepperoni, de l'oignon et des champignons. Naturellement, elle a plus joué avec son morceau de pizza. Mais on a fait la vaisselle ensemble. Et puis l'après midi, on a regardé La Belle et la Bête (mais une suite du premier film) et 101 dalmatiens (je me suis endormi dessus). Pendant tout ce temps, V s'endormait et se réveillait. J'ai connu Léonie et j'ai une amie de plus dans la vie.

Je suis parti en fin d'après-midi, destination Colossus pour voir "Bridge to Terabithia". J'ai été surpris d'aimé ce film même s'il est fait pour les enfants. On embarque dans un monde que l'on se crée quand on ait petit. Les jeunes acteurs sont super bons. Et ca devient triste à la fin.

vendredi 16 février 2007

éclipse sexy

J'ai eu une assez grosse semaine et je suis désolé de ne pas avoir pris le temps d'écrire. J'ai eu ma grosse entrevue mardi dernier. Je portais une cravate pour la première fois depuis le bal de finissant du secondaire. J'avais l'air hot. En fait,, je me sentais hot. J'avais surement l'air du même type les cheveux en broussaille et avec un sourire épais. J'adore le rythme que dégageait l'agence de publicité. J'arrive toujours en avance car je sais que j'ai besoin de m'acclimater à l'endroit et de pouvoir me concentrer sur le message que je veux dégager. Je fais gaffe de ne pas trop lire les magazines même si le Time sur la table a coté de moi semble avoir un article sur la course aux primaires démocrates. Obama ou Clinton? Premier président afro-américain ou première femme ?(J'ai lu l'article finalement, j'avais du temps)

Je suis le prochain en entrevue pour rencontrer un chargé de compte qui s'occupe de la publicité pour Ford Canada au Québec. La personne qui me précédait était une super belle fille. Petite et bien roulé. Pas que j'ai fixé mais j'ai jeté un coup d'oeil. Il faut faire attention. C'est comme dans un Épisode de Seinfeld, il explique que de fixer la poitrine d'une femme c'est comme regarder une éclipse solaire. Tu sais que tu dois pas fixer, juste jeter un coup d'oeil et pluis passer à autre chose. Mais bon. Et surtout elle était en habit, il n'y a rien de plus sexy. Le look professionnel moi je craque. Je me dis ca y est, elle va avoir l'emploi. Il s'avère justement (comme me l'indiquait mon interlocuteur en entrevue) qu'elle était le profil qu'il recherchait. Entre eye candy qui sait faire la job et big candy qui a toute la volonté d'être sexy mais qui ne se fera jamais décrire de cette façon, le choix est facile.

Peu importe, il m'explique les fonctions du poste. Je sais que je serais capable d'effectuer certaines tâches, d'autres qui me prendraient plus de temps à apprivoiser mais c'est comme tout nouvel emploi. Le gars savait lire un cv, il savait voir au-delà de ce qui est écrit et ça me permettait d'être plus transparent dans mes explications. Il aime mon côté rédaction et traduction, bac et maîtrise qui montre que je sais structurer ma pensée et mes textes. J'apprécie ces compliments.

Comme d'habitude mes connaissances sont là, c'est mon expérience qui fait défaut. Je tente encore une fois de vendre mon dynamisme et mon dévouement si on me donne seulement une chance de me prouver...mais les efforts étaient futiles. Je le sentais par ses hésitations que je ne remplissais pas les critères qu'il s'est donné avant les entrevues. Il me dit j'ai un ami qui pourrait p-e être intéressé par ton profil en rh. Je vais faire fonctionner mon réseau. Je le remercie sachant que c'est une autre perche qui pourrait mordre. J'ai tellement de cannes à peche dans l'eau, mais rien de mord.

Demain, je décrirai comment j'ai passé mon vendredi à m'adapter à la façon de pensée d'une petite fille de 5 ans.

lundi 12 février 2007

Never Never Never give up

C'est ce message qui était inscrit à l'arrière d'un gros camion de marchandise alors que je roulais sur le Pont Champlain. Je ne sais pas si ca m'était destiné mais on dirait que le monde tente de me lancer des messages. C'est comme avec une fille, je ne les comprends pas. Le seul signal que je capte c'est une claque au visage et que la fille me dise : "Tu es intéressant jp". Ok, j'exagère, mais c'est presque arrivé comme ca deux fois.

Aujourd'hui, je commence ma journée par 2 rejets (un email et une lettre). Bam, Bam pour débuter ta semaine. Bonne semaine. Pour contrer ce négatif, je tente un retour d'appel d'une agence qui naturellement a appelé à 16h30 vendredi et sur le message téléphonique me dit que je peux rappeler jusqu'à 17h. J'appelle, la personne est en formation pour la journée. La tag continue. Il est pas encore 10h. Et puis, un appel alors que je suis au WC. Je ne veux manquer aucun appel alors j'amène le portable aux toilettes et près de la douche. C'est ça la vie d'un chercheur d'emploi. C'est maman! Je te rappelle ok.

Et puis, alors que je pitonne entre Live with Regis and Kelly et les Saisons de Claudine. Un vrai appel. Une grosse agence de pub pour laquelle j'ai envoyé une lettre et un cv comme pour me changer les idées me contacte. Je réussis le premier filtre de l'entrevue téléphonique et BOUM j'ai une entrevue demain en ville.

La preuve #17 que je suis une fille, la première affaire à laquelle j'ai pensé en raccrochant fut de savoir ce que j'allais porter demain. Preuve # 18 : Je suis allé magasiner pour une chemise et une cravate. Preuve #19 : J'ai payé beaucoup trop cher. Dur à réfuter ça. Je vais faire des commentaires machos ce soir en allant souper avec mes amis pour rétablir un peu de ma masculinité.

samedi 10 février 2007

Party like it's 1984

C'est ma fête demain. J'ai l'habitude de m'énerver et d'espérer qq chose de grand et de surprenant. Et finalement, c'est toujours une déception. Non pas que j'apprécie l'effort de mes amis de tenter de se libérer le temps d'une soirée. Même hier ma soeur m'appelle pour me donner une réponse négative à une faveur et ensuite, je tente de la sonder sur ses intentions sur la fin de semaine, à savoir si mon père descendait à Montréal, si un souper ou un diner de fête s'annonçait? Elle a aucune idée à moins qu'elle bluffe mais ma soeur est incapable de garder ça. Ni moi d'ailleurs.

I ask you : Where are the birthdays of our youth?

Je veux des chapeaux, je veux de la musique et du monde. Je veux des cadeaux et de la boisson (que ca soit du crush à l'orange, du kiri au raisin ou de l'alcool. Je veux des jeux, je veux jouer. Je veux flirter. Pourquoi plus personne n'aime jouer. Est-ce parce que je vais tourner le cap de la trentaine et que j'aurai le 31 au dos pour la prochaine année. Entouré de gens qui semblent avoir perdu le gout de jouer. Je comprends certaines raisons comme de devoir se concentrer sur la job pcq il faut payer les comptes et survenir aux besoins de bébé. Ou de vouloir maintenir son niveau de vie même si y a tjrs qq chose qui vient le remettre en question. Comment s'en sortir. Je suis en train de lire un livre qu'une de mes tantes m'a envoyé " Demandez et vous recevrez" Peut-être me fournira-t-il la réponse.

mercredi 7 février 2007

Stop the "dumb it down"

Je me sers de mon blog pour parler de mon concret. Je sais que je suis fatiguant avec tout le monde parce que j'aime parler des choses de mon quotidien même si ca fascine absolument personne. Certains et certaines sont patients de m'écouter, mais je sais qu'ils endurent comment j'ai négocié 4 pneus usagés pour 100$ à un certain Mr. Muffler. (moi je continue de prétendre que c'est un bon deal) D'autres tentent de changer la conversation vers un autre sujet. Je sais reconnaître de telles tentatives car je suis expert moi aussi dans le domaine.

J'ai besoin d'exprimer ces choses là pcq je suis dans ma tête tout le temps, alors quand je peux parler à qq un et bien j'en profite. Je suis un intellectuel, je dois l'assumer et arrêter de "dumb it down" comme on diot en anglais. Arrêter de niveller par le bas. Ouf je suis fier d'avoir pu le traduire. Alors, mon blog me sert à ça. Tu le lis, tu le lis pas. Moi j'écris et je réponds. Voilà c'est tout.

vendredi 2 février 2007

Flat et Gorge et mains froides

Ce midi, j'essaie d'aller travailler. Je dois me rendre en ville et faire mes petits arrêts hebdomadaires. Je démarre la voiture et elle se mets a shaker, je sens que ca ne tourne pas rond. Je me rend quand même à la station pour gazer. Je me doutais de ma roue avant gauche, en fait c'est ma roue arrière droite qui fait défaut. Un beau flat. Problème, il n'y a aucune pompe à air. Alors je retourne chez moi et essaie de planifier les différents horaires d'autobus. Fait chier royalement tout ca.

Et depuis ce matin, je suis malade, j'ai froid et je grelotte. J'ai la gorge en feu à force de tousser et je sens mes oreilles qui vont me lacher elles aussi. Je savais que ça venait, la voisine de plateau est malade depuis mercredi, c'était donc une question de temps que le virus se glisse sous ma porte comme le font ses toussements et raclements de gorge. Mais je ne peux sortir, donc pas de sirop ou de pastilles. La vie de célibataire et loin de sa famille vient de montrer son principal défaut. Personne pour te chouchouter.

jeudi 1 février 2007

Glace qui fond fait-elle plus d'eau?

Cet après-midi, j'ai sorti du coffre de ma voiture une caisse de bouteilles d'eau 500ml . Elles ont nécessairement gelé pcq je les avais oublié depuis plus d'une semaine. Je les rentre dans l'appart mais je les place dans le frigo ou dans un coin par terre avec un plastique ou une serviette en dessous? Après quelques heures, elle ont commencé à fondre. J'ai donc commencé le processus de vider chacune des 30 bouteilles une par une pour éviter qu'elles débordent, mais ca commence à être long et pénible de vider a peine quelques gouttes dans une autre bouteille pour ne pas perdre d'eau. C'est comme ca que mon cerveau fonctionne.

Sauf que la nuit s'annonce et je vais pas me réveiller en pleine nuit (de lune pleine en plus) pour reprendre le vidage des bouteilles. La raison pour laquelle je m'en fais autant, c'est que j'ai déjà vécu le cauchemar de nettoyer ma banquette arrière et mes vitres de coke glacé et "slusheu" alors que j'avais cette fois-là oublié dans l'auto une caisse de canettes de coke en plein hiver. Je me sentais comme dans Pulp Fiction quand Travolta et Sam Jackson doivent nettoyer le dégat de cervelle et de sang. Je ne veux pas répéter cette expérience. Mais ça me donne le goût de me retaper ce film par exemple.

Panama baby!

Things I know about Panama. Mon amie Moussin ( c'est quoi un Moussin?) est présentement là-bas en vacances à marcher et se faire dorer avec son Fred si la température le permet. Et qu'il y a un canal. Que celui-ci à été en possession américaine jusqu'a récemment alors qu'il fut remis au Panama (logique, après en avoir complètement abusé pendant plus de 100 ans) Que Manuel Noriega était ce qu'on entendait le plus souvent quand on parlait de ce pays. Je viens d'aller voir Wikipédia pour mieux m'informer. C'est fou comment y a des événements que je croyais savoir mais que je confondais avec d'autres. Ca paraît à des moments comme celui-ci que mon bac en sciences politiques était pas en concentration relations internationales. Quelle honte. Pour les visuels, un classique de Van Halen avec David Lee Roth en plus. Y a tellement de choses à dire sur ce vidéo, je vous laisse le regarder et noter vos propres observations. Dire qu'en 84, je regardais les petits bonhommes au lieu de rocker comme ca. http://www.youtube.com/watch?v=gX2CyIH_ebE